L’avocat est intervenu dans l’émission Tempo la So hier, axée sur le scandale allégué d’achat de près d’un million de comprimés de Molnupiravir à Rs 79,92 l’unité.

Il dit douter que l’enquête de la police donne des résultats probants. Pour Samad Golamaully, il faut une enquête qui émane du Premier ministre lui-même. Il est interrogé par Michael Jean Louis…

L’avocat estime que la priorité, pour l’instant, était de sécuriser des éléments de preuves. Cela aurait permis, selon lui, de déterminer si le directeur de la compagnie en question a été en communication avec de hauts responsables à la santé. Pour Samad Golamaully, les autorités auraient agi plus promptement si c’était un membre de l’opposition qui était pointé du doigt.

Pour l’avocat, le ministère de la Santé n’est pas autant préoccupé par les zones d’ombre que la personne qui a fait fuiter l’information.