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TopFMaster: Le 13/11/2024 à 07:43 | MAJ à 13/11/2024 à 07:45
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Publié : Le 13/11/2024 à 07:43 | MAJ à 13/11/2024 à 07:45
Par : TopFMaster

Les chefs d'État se sont succédés à la tribune de la COP29 sur le changement climatique à Bakou en Azerbaïdjan ce mardi 12 novembre. Certains ont vanté leurs efforts et beaucoup ont rappelé à quel point les catastrophes climatiques ont affecté leurs pays ces derniers mois. L'enjeu, c'est cette année l'aide financière aux pays en développement pour faire face au changement climatique. Ils ne « peuvent pas repartir les mains vides », a averti le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres. Le sommet a débuté avec le discours de l'hôte de cette COP : le président de l'Azerbaïdjan. Pour son discours d'ouverture de COP, le président Ilham Aliev, n'a pas hésité à défendre le gaz et pétrole alors que les énergies fossiles sont responsables de 90 % des émissions de CO2 dans le monde. Antonio Guterres, secrétaire général de l'ONU, a pris la parole devant plus de 80 dirigeants du monde entier pour leur demander de baisser leurs émissions de gaz à effet de serre, responsables du changement climatique, en particulier les pays riches.

 

Pour les inciter à faire plus pour s'adapter et mieux résister aux catastrophes climatiques, il a enfin adressé un message sur le financement climat, le gros enjeu de cette COP. « Les pays en développement qui veulent agir se heurtent à de nombreux obstacles : finances publiques insuffisantes, coût exorbitant du capital, catastrophes climatiques qui coûtent cher et service de la dette qui absorbe les fonds. Le résultat ? Pas d'adaptation et une transition à double vitesse », a déclaré Antonio Guterres.