Cette question est sur toutes les lèvres après la mise en inculpation provisoire de l’ancien commissaire de police pour « public official using his office for gratification » ce mardi.
Mario Nobin avait été nommé commissaire des prisons le 8 juin 2020. Il succédait à Vinod Appadoo, lui-même ancien Deputy Commissioner of Police. Ce dernier est désormais conseiller au bureau du Premier ministre. S’il reste donc disponible en cas pour éventuelle suppléance, il est clair que son retour va provoquer des étincelles parmi les militants des droits humains.
Dans sa demande d’injonction pour éviter d’être interrogé par les enquêteurs du CCID, Mario Nobin avait indiqué qu’il pouvait être arrêté et ainsi perdre son job comme commissaire des prisons. Il semble qu’il aura eu raison sur toute la ligne.