Les services de l’homme de loi avaient été retenus par l’assureur du Wakashio ainsi que par les membres de l’équipage du navire qui avait fait naufrage à Maurice en 2020.
Khushal Lobine explique que dans le cas du Yu Feng, battant pavillon taiwanais, les autorités mauriciennes ont le devoir d’agir au plus vite, selon les provisions de la Merchant Shipping Act.
Il explique que le propriétaire du Yu Feng a abandonné son navire. Ainsi, tous les coûts associés au renflouage du navire reviendront au gouvernement. Toutefois, Maurice pourra toujours faire des réclamations ultérieurement.
Me. Lobine ajoute aussi qu’il n’est pas l’heure de situer les responsabilités en cas d’une fuite.
Le plus important est d’éviter une catastrophe écologique. Pour cela les autorités concernées doivent prendre les choses en main au plus vite.