Dirigeants et membres de la fédération syndicale étaient devant les locaux du ministère du Travail ce matin. Ils accusent la direction de Metro Express Ltd de contrevenir aux dispositions de la Workers Rights’ Act.
Selon Reaz Chuttoo, l’un des porte-parole, la compagnie souhaite modifier les conditions de travail de certains employés et diminuer leurs salaires. Il explique que près de 50 employés de Metro Express Ltd ont sollicité l’aide de la CTSP.
Quatre d’entre eux, allègue-t-il, qui ont même tenté de rejoindre le syndicat ont vu leurs contrats être résiliés.
Selon Reaz Chuttoo, cette pratique est illégale car il s’agit d’un poste permanent.
Contacté par courriel, Metro Express Ltd indique qu’il n’y a pas eu de répression envers les personnels qui essayent de faire partie d’un syndicat.
Les quatre employés concernés ne se sont pas vus offrir un renouvellement de contrat basé sur l’évaluation de leur performance, il n’y avait pas besoin d’un comité disciplinaire et il n’a donc jamais eu lieu ajoute la compagnie.