Depuis l’apparition du variant OMICRON, les scientifiques et les responsables de Sante publique de différents pays réagissent et organisent leurs ripostes sanitaires différemment et parfois même de manière contradictoires

L’OMS s’est dite mercredi « très préoccupée par le fait qu’Omicron, plus transmissible, circulant en même temps que Delta, entraîne un tsunami de cas. Cela exerce et continuera d’exercer une immense pression sur un personnel de santé épuisé et des systèmes de santé au bord de l’effondrement ».

Déjà, Omicron est désormais le variant dominant aux Etats-Unis, selon les Centres de prévention et de lutte contre les maladies. Il représentait environ 59 % des nouveaux cas sur la semaine qui s’est achevée au 25 décembre.

Idem en France, où le variant Omicron représente maintenant plus de 62% des nouveaux cas de Covid-19 détectés chaque jour, a annoncé jeudi dernier Santé publique France.

Le Royaume-Uni a indiqué jeudi dernier avoir enregistré 189 213 nouveaux cas de COVID-19 au cours de la dernière période de 24 heures, un nouveau record dans la pandémie, selon les données du gouvernement. Elle survient au milieu des cas de flambée de la variante Omicron la plus transmissible et de l’augmentation du nombre de patients hospitalisés qui ont obtenu un résultat positif à la COVID-19. Au cours des dernières 24 heures, 19544 cas d’Omicron ont été détectés dans l’ensemble du Royaume-Uni, portant le total à 229666.

Alors qu’Omicron est déjà la version dominante dans de nombreux pays européens, sa gestion de la varie selon les pays ;Certains dirigeants européens souhaitent rétablir les restrictions relatives au coronavirus a l’instar deL’Allemagne et du Portugal qui ontannoncé un durcissement des mesures et de distanciation sociale après Noël.D’autres pays, par contre estiment que le nouveau variant va chasser le variant Delta et peut aussi contribuer à accroitre l’immunité collective. Un point de vue que ne partage pas le virologue

Compte tenu de la situation en Europe alors que l’Afrique de Sudindique que le pays a peut-être franchi le sommet de sa quatrième vague d’infections à la COVID-19., la fermeture des frontières avec l’Afrique Australe est –elle alors justifiée ? Le Dr Jaumdallynous livre son point de vue