
Plus de 30 postes de Discipline Masters toujours vacants, seulement 40 travailleurs sociaux et 21 psychologues sont en poste
Selon le National Education Counselling Service (NECS), après une baisse en 2021, due à la pandémie, les cas de violence ont de nouveau augmenté.
Selon le rapport de l’audit, les comportements problématiques ne se limitent plus aux actes de vandalisme ou à l’absentéisme. Désormais, le tabagisme, la consommation de drogues, les menaces avec des armes et les violences sexuelles sont signalés dans plusieurs établissements.
La Student Behaviour Policy, instaurée en 2015 pour encadrer la discipline, n’a jamais été mise à jour et n’est pas systématiquement communiquée aux élèves. Pire encore, il n’existe aucune politique formelle contre le harcèlement, malgré la gravité du phénomène reconnu par la Children Act 2020.
Depuis 2019, le gouvernement avait promis de recruter 34 Discipline Masters pour renforcer la discipline. À ce jour, aucun n’a été embauché, faute de budget. Face à l’absence de protocoles clairs, la suspension reste la seule sanction appliquée, sans résoudre les causes profondes du problème.
Le ministère collabore avec la police et la Child Development Unit (CDU) et prévoit une politique anti-harcèlement. Il manque cependant de ressources humaines : seulement 40 travailleurs sociaux et 21 psychologues sont en poste.