Un nouveau scandale éclabousse les couloirs du pouvoir. Dans la soirée du 12 novembre 2025, aux alentours de 20 h 40, D.B., Advisor au bureau d’un ministre, a été arrêté à Curepipe alors qu’il circulait au volant de sa voiture. Selon les informations recueillies, le test d’haleine préliminaire effectué par la police a révélé un taux d’alcoolémie de 22 microgrammes par litre de sang, dépassant largement la limite autorisée.
Un échantillon de sang a été prélevé sur le suspect pour des analyses plus approfondies par le laboratoire de la police scientifique. En attendant les résultats définitifs, D.B. a été informé qu’il pourrait être poursuivi pour conduite en état d’ivresse, une infraction passible de lourdes sanctions.
Mais ce n’est pas tout. Selon nos recoupements, D.B. aurait déclaré à la police qu’il exerce comme « land surveyor », alors qu’il a officiellement été nommé conseiller au bureau d’un ministre en avril dernier. Une contradiction qui soulève bien des questions sur la transparence et la sincérité de sa déclaration à la police.
Autre élément troublant : avant sa nomination politique, D.B. travaillait comme superviseur dans une entreprise de construction, ce qui soulève des questions sur les critères de sélection et les compétences requises pour des postes au sein de l’État. Certains s’interrogent même sur la validité de ses qualifications.
Cette affaire, qui fait déjà grand bruit dans les milieux politiques, met une fois de plus en lumière les dérives d’un système où privilèges, proximité et impunité semblent parfois primer sur la responsabilité et l’exemplarité.