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Keshinee: Le 10/03/2025 à 12:41 | MAJ à 10/03/2025 à 14:02
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ENVIRONMENT
Publié : Le 10/03/2025 à 12:41 | MAJ à 10/03/2025 à 14:02
Par : Keshinee

L’inscription dans la Constitution du droit de la nature et des droits écologiques figurait dans le manifeste électoral de l’Alliance du Changement.
D’ailleurs, Joanna Bérenger, Junior minister à l’Environnement, l’a fait ressortir lors de son discours sur le programme gouvernemental 2025-2029 au Parlement récemment.


Une décision accueillie favorablement par les environnementalistes, qui demandent en parallèle que le terme « nature » soit bien défini dans la Constitution.


« Face à la grande crise de notre siècle, le changement climatique, nous nous engageons à instaurer les droits de la nature dans la Constitution », a affirmé Joanna Bérenger lors de son discours sur le programme gouvernemental au Parlement.


Adi Teelock de Platform Moris Lanvironnman, qui accueille favorablement cette mesure de l’Alliance du Changement, fait appel à une campagne d’explication afin que le terme « nature » soit bien défini dans la Constitution.


Cette décision permettra de construire la résilience écologique, soutient Sunil Dowarkasing.


L’ancien stratège global de Greenpeace International et écologiste affirme qu’inscrire le droit de la nature dans la Constitution donnera aux écologistes des outils importants pour militer en faveur de la préservation de l’environnement.


Si cette décision du gouvernement est une grande étape pour Maurice, Sunil Dowarkasing rappelle que c’est en 1972 à Stockholm que la relation entre l’environnement et les droits humains avait fait surface pour la première fois.