Suite à la publication de récents articles dans la presse mauricienne, Clinglobal souhaite apporter des précisions concernant son projet académique de dépistage et d’échantillonnage parasitaire mené entre 2019 et 2020, dans le cadre du One Health Framework de l’OCDE, en collaboration avec la Mauritius Society for Animal Welfare (MSAW). Selon l’entreprise, certaines informations rapportées étaient inexactes et ont mal interprété la nature scientifique du projet.

Clinglobal explique que ce projet visait à collecter des données essentielles sur les parasites naturellement présents chez les chiens, tels que puces, tiques, vers et acariens, qui représentent un risque pour les animaux et les humains (zoonoses). Comprendre la propagation de ces parasites est, selon l’entreprise, crucial pour élaborer des stratégies de santé visant à protéger les animaux de compagnie et la population en général. Les résultats de cette étude ont été soumis au Ministère de l’Agro-industrie et de la Sécurité Alimentaire ainsi qu’à la MSAW.

L’entreprise précise que le projet, approuvé par la MSAW, impliquait la collecte d’échantillons conformément aux procédures établies par l’association. Les données et échantillons ont été prélevés sur des animaux déjà présents dans le système d’accueil et qui avaient été euthanasiés ou étaient destinés à l’être, conformément aux pratiques en vigueur à l’époque. Clinglobal souligne également que ce projet est similaire à une initiative menée par la MSAW en 2014-2015, dont les résultats ont été publiés dans le journal scientifique Parasites & Vectors.

Clinglobal, entreprise internationale spécialisée en santé animale, affirme que tous ses projets respectent des standards élevés en matière d’éthique, de soins et de bien-être animal, ainsi que les lois et réglementations en vigueur. L’entreprise réaffirme son engagement à mener des recherches transparentes et responsables pour améliorer la santé des animaux et des communautés.

Enfin, Clinglobal réfute les affirmations contenues dans les articles de presse et se réserve le droit d’engager toute action légale, y compris des poursuites pour diffamation, contre les diffuseurs de ces informations qu’elle juge fausses et trompeuses.