Le parent évoque un climat de peur et d’intimidation grandissant, et il fait état de violences physiques et mentales de la part de certains groupes d’élèves. Selon lui, certains élèves se voient également découragés d’étudier certaines matières, créant ainsi une ambiance qui nuirait à l’esprit d’ouverture et de tolérance de l’établissement. Ce climat, affirme le parent, aurait même transformé l’école en un foyer propice à l’intolérance.

Par ailleurs, il fait également état d’un sujet où des pratiques d’endoctrinement sembleraient se dérouler, ce qui suscite des inquiétudes parmi les élèves et les parents. Dans ce contexte, nombreux sont ceux qui se sentent exclus.

En tant qu’établissement public financé par les contribuables, les parents d’élèves expriment leurs attentes : celui-ci devrait être un lieu sûr et inclusif, où tous les élèves, quels que soient leur foi ou leurs croyances, peuvent évoluer dans un environnement respectueux et égalitaire.

Interrogé à ce sujet, le ministre de l’Éducation, Mahend Gungapersad, a fait savoir qu’il a pris connaissance de cette situation préoccupante. Il a précisé que deux officiers de son ministère se sont rendus sur place ce mercredi 5 mars pour effectuer un état des lieux et recueillir les informations nécessaires pour une évaluation de la situation.