Confinement : Des frontliners font face à un problème de transport public
Ils sont au front depuis le début du confinement mais pour les frontliners ce n’est pas toujours évident pour eux de se rendre sur leur lieu de travail.
Ils sont au front depuis le début du confinement mais pour les frontliners ce n’est pas toujours évident pour eux de se rendre sur leur lieu de travail.
C’est toujours le 15 mars que les taxis seront autorisés à opérer. Mais ils ne pourront accueillir que trois passagers, soit un à côté du chauffeur et deux sur le siège arrière.
Au total hier, trois cas ont été recensés, deux dans la matinée et un dans l’après-midi.
La priorité pour la vaccination contre le Coronavirus sera donnée aux frontliners.
C’est la demande faite par le syndicaliste Narendranath Gopee de la Federation of Civil Services & Other Unions (FCSOU).
C’est l’assurance donnée par le Premier ministre adjoint, Steven Obeegadoo lors de la conférence de presse du National Communication Committee hier.
Le ministère de la Santé l’a informé à deux reprises, soit vendredi et samedi derniers qu’une ambulance va le récupérer pour qu’il soit placé en quarantaine.
Malgré les nombreux avertissements des autorités quant aux abus de certains commerçants, les plaintes ne cessent de surgir surtout sur les réseaux sociaux.
Dans un communiqué, la compagnie d’aviation nationale explique que les vols vers Paris se feront les mardis et les samedis à partir du mardi 16 mars.