Il commentait la décision du directeur des poursuites publiques de demander à la police de rouvrir l’affaire Brasse, du nom d’un trafiquant présumé dont les démarches pour l’obtention d’un passeport temporaire auraient pu avoir été facilitées par l’intervention de Mario Nobin, alors commissaire de police.
La police a conclu qu’il n’y avait aucune irrégularité dans l’affaire. En conférence de presse hier, le leader du MMM a souligné que l’Icac aussi avait initié une enquête sur cette affaire.
Mais pour Paul Bérenger, là où l’Icac et la police ont failli, le DPP et ses officiers ont été à la hauteur.
Ce qui l’amène à dire que le bureau du DPP est l’une des rares institutions à avoir toute sa crédibilité…
Tout en rappelant qu’il s’était opposé à la nomination de Navin Beekarry à la tête de l’Icac après les législatives de 2014, Paul Bérenger demande à ce que son contrat ne soit pas renouvelé et qu’il soit remplacé par quelqu’un du bureau du DPP.