Nazanin Zaghari-Ratcliffe s’est fait rendre son passeport hier, une indication de sa prochaine libération. Le gouvernement britannique a déboursé 400 millions de livres dans cette affaire.
Britannique d’origine iranienne Nazanin Zaghari-Ratcliffe a été arrêtée et reconnue coupable d’avoir comploté pour renverser l’establishment clérical iranien. Elle a vécu depuis un martyr.
Nazanin, maman et chef de projet pour la Fondation Thomson Reuters, s’apprêtait à rentrer au Royaume-Uni, après avoir emmené sa fille Gabriella – alors âgée de moins de deux ans – voir des proches.
Des renseignements font état de pourparlers entre Téhéran et Londres au sujet d’une dette de longue date de 400 millions de livres sterling que le Royaume-Uni doit à l’Iran.
Les dirigeants iraniens ont promis à plusieurs fois de la libérer, allant même jusqu’à la sortir de prison pour finalement la remettre en cellule.