L’ancien ministre est d’avis que ce n’est pas le rôle de la Cour suprême de trancher concernant un litige entre le commissaire de police et le bureau du Directeur des Poursuites Publiques. Anil Gayan considère que ce n’est pas non plus la fonction d’un tribunal d’agir comme arbitre dans une guerre d’influence qui oppose ces deux institutions.

Pour lui, la constitution définit clairement le rôle de chacun. Anil Gayan estime, lui, qu’il y aurait dû y avoir une sorte de passerelle de communication entre les deux pour le bon fonctionnement de ces deux institutions qui sont la police et le bureau du DPP.

Des propos tenus lors de l’émission Hardtallk cette semaine.