Par le biais d’un communiqué émis hier, le Conseil se dit attristé et déplore le fait que les leaders religieux qui sont des témoins privilégiés de la souffrance humaine, ne peuvent en faire mention. C’est vraiment dommage d’en arriver là et nous souhaitons qu’à l’avenir le dialogue soit privilégié pour éviter de tels dérapages nuisibles à la paix sociale et à l’entente entre les mauriciens de toutes confessions religieuses, conclue le Conseil des Religions.