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Jessila: Le 01/11/2021 à 09:29 | MAJ à 01/11/2021 à 09:29
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Publié : Le 01/11/2021 à 09:29 | MAJ à 01/11/2021 à 09:29
Par : Jessila

Repoussée d’un an à cause de la pandémie de Covid-19, la 26e Conférence des parties se tient du 31 octobre au 12 novembre 2021 à Glasgow, en Écosse

Six ans après la COP21 et l’accord de Paris pour le climat, la communauté internationale se retrouve sous l’égide des Nations unies pour accélérer la lutte contre le réchauffement, alors que l’urgence climatique se fait de plus en plus pressante.

Présidée par le Royaume-Uni, cette conférence n’a pas pour objectif d’aboutir à un nouveau traité, mais de pousser les États à mettre à jour les “contributions déterminées au niveau national”

Les négociations sur le climat seront le plus grand sommet international jamais organisé par le Royaume-Uni ; ils réuniront plus de 30 000 délégués, dont des chefs d’État, des experts du climat et des militants, pour convenir d’un plan d’action coordonné afin de lutter contre le changement climatique.

COP 26 a pris des allures de sommet de la dernière chance. La COP26 est même un “tournant pour l’humanité”, selon les dires du Premier ministre britannique, Boris Johnson.

Les données chiffrées démontrent que les pays industrialisés dès le XIXe siècle en Europe et en Amérique du Nord portent une responsabilité colossale dans le réchauffement en cours, attribué principalement aux émissions de gaz carbonique.

Aujourd’hui encore, ils figurent parmi les principaux émetteurs en fonction de leur population, rejoints par les pays producteurs de pétrole (Russie, Kazakhstan, Golfe) ou de charbon (Australie) et les pays émergents, au premier rang desquels on trouve la Chine.

Même si l’humanité arrive à freiner l’augmentation de la température moyenne de la Terre à 1,5 °C, les canicules qui se produisaient jadis tous les cinquante ans reviendront presque tous les dix ans.

L’île Maurice est très vulnérable aux effets des cyclones intenses, des raz de marée, des sécheresses prolongées, des crues soudaines et de l’augmentation de la température de la mer.

À première vue, les choses ne semblent pas prometteuses, pour la simple raison : les 25 conférences géantes précédentes n’ont pas réussi à fermer le robinet des différents gaz à effet de serre qui font monter les températures mondiales.

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