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: Le 15/03/2021 à 08:52 | MAJ à 18/07/2024 à 17:25
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Publié : Le 15/03/2021 à 08:52 | MAJ à 18/07/2024 à 17:25
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Vacciné samedi 13 mars avec le sérum d’AstraZeneca, un enseignant est mort hier, dimanche, près de Turin. La Région du Piémont a donc décidé de suspendre l’administration de ce vaccin, le temps de « vérifier s’il existe un lien de causalité entre la vaccination et le décès ». Plusieurs pays européens, notamment l’Irlande, l’Islande, la Hollande le Danemark et la Norvège ont déjà pris des mesures similaires, ces derniers jours.

La région du Piémont (est de l’Italie) a décidé ce dimanche 14 mars de suspendre provisoirement l’administration du vaccin AstraZeneca, après la mort d’un enseignant vacciné la veille, a annoncé l’autorité de santé régionale.

 

Il s’agit d’une mesure d’extrême précaution, en attendant de vérifier s’il existe un lien de causalité entre la vaccination et le décès ​, a expliqué le conseiller pour la santé de la région du Piémont, Luigi Genesio Icardi, dans un communiqué.

 

L’enseignant, dont l’âge n’est pas précisé, est décédé à Biella, commune située au nord de Turin.

 

Un militaire de 43 ans vacciné est mort

L’Italie avait décidé jeudi dernier d’interdire à titre de précaution l’utilisation d’un lot de vaccins anti-Covid d’AstraZeneca/Oxford en raison de craintes liées à la formation de caillots de sang.

 

Des inspecteurs du ministère italien de la Santé se sont rendus dimanche en Sicile pour mener l’enquête sur la mort d’un militaire de 43 ans décédé le 9 mars dans l’île du sud de l’Italie après l’injection d’une dose du vaccin AstraZeneca. Une autopsie du corps a déjà été réalisée samedi à l’hôpital de Catane (est de la Sicile).

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