En mars, durant le premier confinement, les vendeurs et les consommateurs ont été confrontés à de nombreuses difficultés.
D’une part, les vendeurs ont fait face à une crise financière parce qu’ils ne travaillaient pas au début du confinement. Alors que d’un autre côté, il y avait des achats de panique de la part des consommateurs parce qu’ils n’étaient pas prêts pour le verrouillage.
Raj Appadoo, président du Front commun des Commerçants explique qu’en cas d’un autre confinement, les marchands devraient continuer à travailler pour subvenir aux besoins des citoyens. De cette façon, l’économie ne s’agenouillera pas non plus.
Selon lui, les Mauriciens sont devenus suffisamment vigilants et disciplinés pour prendre toutes les précautions nécessaires.