L’article, qui traite des séquelles de la marée noire ‘MV Wakashio’, évoque aussi un « climat de suspicion » autour de la catastrophe environnementale.
Martine Valo, la journaliste, évoque le nettoyage du lagon, mais aussi les difficultés des pêcheurs de la région du Sud-est et des autres opérateurs du secteur informel.
Le MV Wakashio, précise son article, a porté un coup dur à l’économie du pays mais aussi à une région décrite « comme un joyau mondial de biodiversité »
L’article souligne que la gestion de la catastrophe a eu « un puissant retentissement dans la population » et que c’est dans un « climat tendu » que survient un nouveau drame le 31 août, soit le naufrage du remorqueur Sir Gaetan.
À noter quelques éléments d’information intéressants sur le dossier des dauphins et autres mammifères échoués sur nos côtes. D’abord, l’on apprend qu’à ce jour, les résultats des tests sur les crustacés retrouvés morts à proximité de l’îlot Brocus n’ont pas été communiqués.
Dans l’article, Jacqueline Sauzier, présidente de la Mauritius Marine Conservation Society, précise qu’aucune trace d’hydrocarbures n’a été trouvée dans les poumons ni dans l’estomac des dauphins d’Electre. Cependant, la présence de bulles d’air semble indiquer un accident de décompression.
Jacqueline Sauzier soutient aussi que la Mauritius Marine Conservation Society n’a pas reçu les résultats des analyses réalisées par un laboratoire à Maurice, encore moins les échantillons que l’organisme avait demandées afin de les faire expertiser en Allemagne.