Pour l’océanographe, la méthodologie adoptée pour enlever la deuxième partie du Wakashio est la plus appropriée, car elle est moins destructible. S’il fallait le tirer des récifs, cela aurait davantage endommagé le brisant, indique Vassen Kauppaymuthoo.

Toutefois, les impacts mécaniques sont inévitables. Des morceaux de coraux peuvent être arrachés, soutient l’ingénieur en environnement.

Une étude sera bientôt menée par le ministère de l’Environnement pour déterminer l’étendue des dégâts causes par le Wakashio. Cependant il faut une surveillance très stricte des différentes parties prenantes, car il faudra réhabiliter le site.