Kailesh Jagutpal avait déclaré, suite à une interpellation, que selon les derniers chiffres, qui datent de 2020, l’on dénombrait 6 600 Mauriciens qui s’injectaient de la drogue. Pour les travailleurs sociaux, ces chiffres ne reflètent pas la réalité. Il faudrait, disent-ils, les multiplier par deux ou trois. Ils évoquent aussi un rajeunissement et une féminisation des toxicomanes.