L’affaire a éclaté lorsque des internautes ont eu vent que des photos de femmes et jeunes filles mauriciennes sont échangées et partagées sur un réseau social. Certains de ceux qui s’adonnaient à cette pratique ont été dénoncés sur un autre réseau social. Mais à la base, il y aurait des mineures qui, pour se faire un peu d’argent, proposent des sex chats ou de photos de nu.

À en croire les captures d’écran en circulation, il s’agit de messages proposant des appels vidéo et de photos à caractère pornographique contre de l’argent sur les réseaux.

Les prix pour ces « services en ligne » varient entre Rs 300 et Rs 1 000. Les « clients » paient à travers des services bancaires en ligne.

Toutefois, certaines photos et vidéos ont fini par atterrir sur différents groupes sur les réseaux sociaux, notamment Telegram, Whatsapp ou encore Facebook Messenger. Ces groupes comptent plus de 2 500 participants. Il s’agit en quasi majorité d’homme.

Rappelons que le partage de ce genre de contenu constitue un délit. Ceux qui sont trouvés coupables sont passibles d’une amende allant jusqu’à Rs 1 million et une peine de prison maximale d’un an de prison.