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Jessila: Le 18/07/2021 à 09:47 | MAJ à 18/07/2021 à 09:47
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Publié : Le 18/07/2021 à 09:47 | MAJ à 18/07/2021 à 09:47
Par : Jessila

Quatre individus estiment que leurs droits constitutionnels sont bafoués avec la décision du ministère de la Santé d’imposer la vaccination pour avoir accès à certains endroits ou la présentation d’un test PCR négatif vieux de 7 jours au maximum.

Parmi les quatre contestataires, on trouve une secrétaire qui vit avec sa mère cardiaque et qui doit l’accompagner à l’hôpital pour ses rendez-vous.  Il y a aussi un peintre, père de deux enfants, qui habite Sainte Croix. Enfin, il y a un couple qui a quatre enfants.

Dans la plainte, un des contestataires soutient que le 1er juillet, son employeur l’a informé qu’étant non-vacciné, il ne pourrait avoir accès à son travail. Un “leave without pay” de 11 jours lui a été imposé. S’il refuse de se faire vacciner après ce délai, il pourrait être remplacé et perdre son travail.

Les quatre contestataires demandent à la justice de mettre en veilleuse l’imposition de la vaccination obligatoire dans certains cas le temps que l’affaire soit écoutée. La plainte constitutionnelle est dirigée contre le ministre de la Santé, la ministre de l’Éducation, l’État, la Roman Catholic Education Authority, le directeur de l’école spécialisée I CAN, le directeur de Fast Food Ltd et le Medical Council.

La plainte constitutionnelle a été rédigée par l’avoué Vasanta Atmarow. Les contestataires sont représentés par Me Sanjeev Teeluckdharry.