La pandémie est peut-être terminée, mais ses conséquences ont bouleversé la vie de nombreuses personnes. Ces dernières années, les mesures mises en œuvre contre le Covid-19 ainsi que les vaccins ont causé une quantité incroyable de souffrances humaines. D'innombrables personnes ont subi des dommages physiques, psychologiques et économiques, voire la mort. La majorité des personnes touchées n'ont guère ou pas de perspectives de recevoir une quelconque forme d'indemnisation. Des scientifiques de toute l'Europe démêlent les mythes revendiqués par les fabricants de vaccins.

 
Le Dr Klaus Steger, biologiste moléculaire, et la Dr Alexandra Henrion Caude, généticienne spécialisée dans le domaine de l'ARN et de l'épigénétique, réfutent les affirmations des fabricants et des politiciens. Le mouvement prend de l'ampleur en Europe et des poursuites sont préparées contre ceux qui ont produit les vaccins à ARNm et ceux qui les ont soutenus et défendus. Les scientifiques affirment que la «vaccination» avec la technologie de l'ARN modifié est comparable à une horde de chevaux de Troie qui accèdent librement à notre corps et le contrôlent.

 
Ces scientifiques disent que les vaccins à ARNm contre la COVID-19 ne sont pas vraiment des « vaccins ». Ils affirment que les vaccins répondent à tous les critères d'un produit génétiquement modifié, circulent dans notre corps et dans nos cellules sans être remarqués comme étrangers, qu'entrée dans nos cellules, l'ARNm modifié détourne nos cellules pour les forcer à produire des protéines étrangères, et que parce que vous êtes destiné à recevoir des doses de rappel sur une base régulière, ces injections répétées conduisent à la production ininterrompue de l'antigène, peut-être de plusieurs antigènes.

 
Ils poursuivent en disant que les vaccins ne sont pas à ARNm, parce qu'ils sont composés d'un nouveau code génétique synthétique. Et pour cette raison, on ne sait pas si ces vaccins à ARNmod se dégradent un jour. Les scientifiques affirment également que les vaccins sont de l'ADN en plus de l'ARNm modifié. De plus, ils affirment que les vaccins n'ont jamais été conçus pour « rester dans les muscles », mais qu'ils voyagent dans la circulation sanguine, les ganglions lymphatiques et même dans le lait maternel.

 
Ces scientifiques ont tiré la sonnette d'alarme et ils encouragent les Européens qui ont subi ou subissent tout type de dommage par l'une ou l'autre des mesures mises en œuvre ces dernières années, à titre d'interventions pharmaceutiques ou non pharmaceutiques, à déposer des accusations pénales contre les personnes en position de responsabilité.