Le chef de file du PTr au Parlement qualifie le Financial Crimes Commission Bill de « rétrograde ». Dans sa forme actuelle, ce projet de loi, selon lui, ne peut être voté car il vise avant tout les opposants politiques du gouvernement.

Évoquant le dossier Agaléga, Arvin Boolell soutient que le Premier ministre a le devoir de dire toute la vérité à la population sur ce territoire, dont l’accord avec l’Inde.