Selon le récit du journaliste, l’incident se serait produit le 1ᵉʳ décembre alors qu’il discutait avec une connaissance à Floréal. Il indique que depuis, il craint pour sa vie.

Le journaliste relate que le vendredi 1ᵉʳ décembre, vers 6 heures du matin, il conversait avec son ami à la Rue La Hausse de Louvière à Floréal. À ce moment-là, son ami avait arrêté sa voiture et il se tenait au niveau de la fenêtre du conducteur lorsque le journaliste a remarqué une voiture privée, une Mercedes, se dirigeant en direction de Trou aux Cerfs et se rendant vers la clinique Darne.

Dans sa déposition, le journaliste affirme que ladite voiture se déplaçait rapidement en sa direction. Il a réussi à se dégager de sa trajectoire en se penchant vers la voiture de son ami pour éviter une collision. Il rapporte que le conducteur du véhicule en question a poursuivi sa route en direction de la clinique Darne à une vitesse élevée. Il souligne également que, au lieu de lui laisser le temps de se déplacer hors de la route, le conducteur en question a accéléré et s’est dirigé imprudemment vers lui, semblant vouloir le renverser ou l’effrayer.

Dans sa plainte, le journaliste révèle qu’il y a quelques jours avant cet incident, ce haut cadre d’Air Mauritius l’avait verbalement agressé au sujet de certains articles de presse, dont il était l’auteur.

Dans sa déposition, le journaliste exprime sa crainte pour sa vie.

Chez Air Mauritius, cet incident suscite des réactions vives. Tout d’abord, le contrat de travail des employés stipule que des mesures disciplinaires doivent être prises à l’encontre de ceux ayant des démêlés avec la police. De plus, si la compagnie considère le délit comme sérieux, la personne concernée pourrait être suspendue. Ainsi, ils attendent les actions que la compagnie aérienne prendrait à ce sujet.