C’est ce qui ressort d’une circulaire émanant du bureau du Commissaire de police.
Ainsi, il a été observé, souligne la circulaire, que plusieurs officiers sont tatoués sur les parties visibles de leurs corps. Selon le communique, quand un officier de police est en uniforme, ces tatouages peuvent susciter de nombreux commentaires négatifs et déplaisants venant des membres du public et projettent ainsi une mauvaise image de la force policière.
Toutefois, en vertu du paragraphe 7 (a) et (b) et 31 des Standing Orders du règlement de la force policière concernant le Dress Regulations, aucun policier en uniforme ne doit porter des accessoires, emblème ou des piercings visible.
Aucun tatouage visible n’est autorisé, précise le communiqué.
Une violation du code vestimentaire de la police ne sera donc pas plus permise.
Ainsi, les membres de la force policière qui ont des tatouages sur les parties visibles du corps, ont un moratoire de deux mois à faire enlever leurs tatouages.
A défaut de quoi, des actions disciplinaires seront envisagées à leur encontre précise le communiqué.