Israël a mené des frappes terribles contre le Liban pour tenter de décapiter le mouvement islamique armé. Le Hezbollah, lui, n’a pas communiqué.
Ce serait un séisme régional et une démonstration de puissance éclatante de la part d’Israël. Ce samedi 28 septembre, après pratiquement 24 heures de frappes terribles contre le Liban, l’armée israélienne a affirmé avoir éliminé Hassan Nasrallah, le chef du Hezbollah, ce groupe islamique armé soutenu par l’Iran et proche du Hamas.
« Hassan Nasrallah est mort », a déclaré un porte-parole de l’armée, le lieutenant-colonel Nadav Shoshani, sur le réseau social X. Un autre porte-parole de l’armée, le capitaine David Avraham, a confirmé à l’AFP que le chef du Hezbollah avait été « éliminé ». Fortes de ce succès, les troupes de l’État hébreu sont même allées plus loin, mettant en garde tout individu menaçant Israël : « Nous n’avons pas épuisé tous les moyens dont nous disposons. Le message est simple : quiconque menace les citoyens d’Israël, nous saurons comment l’atteindre », a déclaré le général Halevi, chef d’état-major de Tsahal, dans un communiqué.