Le hashtag MeTooMauritius prend de l’ampleur, les Mauriciens sont nombreux à dénoncer les cas d’abus ou de harcèlement sexuel sur les réseaux sociaux.
Les victimes femmes et hommes expliquent qu’ils se déroulent en autobus, salle de classe, lieu de travail, ou sur les réseaux sociaux.
Pour l’avocate Pooja Luchmun, aussi membre de « Raise Brave Girls» il est important de dénoncer tout cas d’abus.
Elle prend l’exemple des cas de harcèlement sexuel au travail… si l’employeur ne prend aucune action contre les présumés agresseurs,dit-elle, la victime doit chercher de l’aide externe, au bureau du travail ou à la police.
L’inspecteur Shiva Coothen, responsable du Police Press Office, rappelle que les individus trouvés coupables sont passible d’une peine de 10ans de prison ou d’une amende ne dépassant pas Rs 200 000.