C’est hier matin que ces trois femmes ont demarré cette action à Rose-Hill.
L’une d’elle, Angelica Bazerque, qui a travaillé pendant six ans au sein de la compagnie, a accusé un de ses supérieurs de harcèlement sexuel et d’attouchements. Elle dit avoir rapporté le cas à la direction, à la police et au ministère du Travail. Suite à quoi, explique Angelica, elle aurait commencé à avoir plusieurs avertissements et a fait face à plusieurs accusations avant d’être licenciée.
Selon elle, il s’agit d’un coup monté.
Pour sa part, Gérard Manuel, responsable de communication de Rose-Hill Transport, explique que le licenciement de l’employée n’a rien à voir avec l’allegation de harcèlement sexuel, mais en raison de manquements sur le plan professionnel.