Depuis vendredi après-midi, un vent de panique s’est fait ressentir parmi les Mauriciens après la fuite d’une correspondance du ministère du Commerce qui fait état d’une limite de deux litres d’huile qui serait autorisée à chaque consommateur dans les points de vente.

Le porte-parole de l’association des consommateurs de l’île Maurice, Jayen Chellum, soutient que la fuite de ce document ne fait qu’encourager le panic buying. Il faut éviter cela pour qu’il n’y ait pas de pénurie artificielle, prévient-il.

JayenChellum exprime aussi son inquiétude par rapport à un marché noir qui pourrait voir le jour autour de l’huile comestible.