Avec un brin d’ironie, Shakeel Mohamed a souligné le fait que dans le camp de la majorité, un seul homme de loi, soit le Premier ministre, va intervenir sur ce projet de loi. Il s’est demandé pourquoi les avocats comme Ivan Collendavelloo, Steven Obeegadoo et Soodesh Callichurn ne se trouvent pas parmi les orateurs.

Shakeel Mohamed a aussi fait référence à un discours de Nelson Mandela qui disait qu’une presse critique, indépendante et investigatrice constitue l’élément vital de toute démocratie. Pour lui, le fait que les orateurs de la majorité refusent d’utiliser les termes critique, indépendant et même investigation.