Propos du biologiste marin Yann von Arnim. Ce membre de la Mauritius Marine Conservation Society affirme qu’il faut maintenant déterminer d’où proviennent les fuites depuis le MV Wakashio. Il se demande si c’est de l’huile ou du carburant et rappelle que normalement les réservoirs des navires sont bien protégés.
Mais le plus important, souligne Yann von Arnim, c’est d’empêcher que l’huile ne s’approche des endroits stratégiques, comme les plages, le parc marin de Blue Bay ou alors la ferme marine de Mahébourg.
Le biologiste marin affirme que le point positif, c’est que les fuites ne proviennent pas de la cargaison du navire, qui était vide. Ce qui fait que même s’il s’agit de produits pétroliers, ils ne sont en grosse quantités. Néanmoins, explique-t-il, il ne faut que la biodiversité et la vie marine ne soient détruite.