Le Premier ministre pakistanais Imran Khan est accusé d’avoir plongé le Pakistan dans le chaos hier en appelant à de nouvelles élections après avoir échappé in-extrémiste à une motion de censure. C’est un de ses alliés politiques qui a brusquement annulé le vote de censure dans une décision-choc qui sera examinée par la plus haute cour du pays.
Le vice-président Qasim Khan Suri, membre du parti au pouvoir de Khan, a cité “l’ingérence étrangère” dans l’annulation de la motion de censure présentée par l’opposition, qui a déclaré avoir la majorité pour l’évincer et prendre le pouvoir. Khan a ensuite demandé au président de dissoudre le parlement, ce qui a été approuvé peu de temps après.

Reporting by: Bloomberg Quicktake
Translated and Edited by : Jugernauth Raj
Posted by : Jugernauth Raj