Le 6 octobre dernier, l’île Maurice se joignait à la célébration de la Journée mondiale de la paralysie cérébrale. C’est un moment essentiel pour sensibiliser l’opinion publique et promouvoir les droits des personnes vivant avec cette condition neurologique.
Comme dans de nombreux pays, les personnes atteintes de paralysie cérébrale à Maurice se heurtent à d’importants obstacles, notamment en matière d’éducation et d’inclusion sociale.
L’un des plus grands défis auxquels sont confrontés ces enfants et leurs familles réside dans l’accès à une éducation de qualité. Les établissements scolaires mauriciens ne sont pas tous adaptés aux besoins spécifiques des élèves atteints de paralysie cérébrale, que ce soit en termes d’accessibilité physique des bâtiments ou de disponibilité d’outils pédagogiques appropriés.
Sarah Bathfield, présidente de l’ONG « CP Family », partage son analyse des défis rencontrés en vue d’assurer une meilleure inclusion des jeunes touchés par ce handicap.