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: Le 25/03/2021 à 14:06 | MAJ à 18/07/2024 à 17:25
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Publié : Le 25/03/2021 à 14:06 | MAJ à 18/07/2024 à 17:25
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Dubaï, ses gratte-ciel, ses palaces, ses centres commerciaux flambant neufs… Cette façade clinquante cache cependant une arrière-cour bien sombre. Les ouvriers indiens ou pakistanais, très majoritaires sur les chantiers de l’Emirat, sont quasiment des esclaves vivant les uns sur les autres. Eux n’ont pas accès aux prostituées de luxe (environ 40 000, toutes des étrangères), à la drogue et à l’alcool qui coule à flots une fois la nuit tombée.

À Dubaï, la prostitution est interdite, voire même passible d’amende et d’emprisonnement. Pourtant, la ville est une référence dans l’industrie du sexe, étant même qualifiée de capitale de la prostitution dans le Golfe. Alors ne soyez pas surpris, au détour d’une balade, d’apercevoir des prostituées dans le centre-ville ou dans le célèbre quartier de La Marina.

Quant à elles, l’homosexualité et toutes les formes de travestissement sont prohibées. Mais La Presse, journal québécois, a révélé que Dubaï était le refuge des LGBTQIA+.

 

Plus largement, une conférence internationale sur l’identité de genre et les droits LGBT sera organisée aux Émirats arabes unis en mai 2021. Paradoxal pour l’un des pays les plus LGBTphobes au monde, non ?

 

 

 

 

Ville de tous les préjugés et de la controverse, nombreux sont ceux qui l’adorent, mais aussi ceux qui pensent qu’il n’y a aucune culture. Un conseil : partez à l’aventure et forgez-vous votre propre opinion. Profitez de tout le luxe que Dubaï a à vous offrir, mais ne fermez pas les yeux sur l’envers du décor, car comme on dit, il n’est pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir…