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Naresh: Le 26/11/2020 à 16:23 | MAJ à 26/11/2020 à 16:23
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Publié : Le 26/11/2020 à 16:23 | MAJ à 26/11/2020 à 16:23
Par : Naresh

C’est ce que révèle un article publié dans l’édition de novembre du bureau du DPP, publié ce jeudi. Les auteurs, les Legal Research Officers Pooja Doomun et Neelam Nemchand, rapportaient les interventions faites durant un atelier de travail sur les violences sexuelles à l’intention des officiers du bureau du DPP.

Prenant la parole à cet événement, l’Acting Principal State Counsel Audrey Sunglee explique que ces cas, étant sensibles, ont besoin d’une attention spéciale. Si certains, dit-elle, peuvent être traités sans grande difficulté, d’autres sont plus complexes.

Me Audrey Sunglee ajoute que la grande majorité des victimes viennent de familles vulnérables et que souvent, leur agresseur est un proche.

Elle souligne aussi que certains facteurs compliquent un cas. Elle cite la différence d’âge entre le suspect et sa victime, les antécédents familiaux, la naissance d’un enfant suite au délit ou encore le temps que prend le dossier pour arriver devant la justice.

De plus, souligne l’Acting Principal State Counsel, il est difficile de déterminer si un mineur de moins de 14 ans peut témoigner en cour. Car, dans cette éventualité, son témoignage peut contenir des incohérences.

 

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