Après l'attaque massive lancée le 1ᵉʳ octobre par l'Iran contre Israël à l'aide de missiles balistiques et la promesse d'Israël de représailles, Téhéran se dit prête à frapper « toutes les infrastructures » d'Israël si l'État hébreu riposte. Dans ce contexte, l'armée israélienne continue d'affronter les combattants du Hezbollah dans la zone frontalière. Huit soldats israéliens y ont été tués. Les raids aériens se poursuivent par ailleurs contre les bases du mouvement chiite pro-iranien à Beyrouth. Après l'attaque massive de missiles lancée par l'Iran le 1er octobre contre Israël, le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, déclaré « persona non grata » en Israël, dénonce le « cycle écœurant » des violences en appelant à un cessez-le-feu. Lors d'une réunion d'urgence du Conseil de sécurité à New York, la Chine et d'autres pays ont par ailleurs dit leur préoccupation face à l'escalade au Moyen-Orient. Le président américain, Joe Biden, s'est dit, lui, opposé à des frappes israéliennes contre les installations nucléaires civiles de l'Iran.