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: Le 09/12/2020 à 18:52 | MAJ à 18/07/2024 à 17:26
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Publié : Le 09/12/2020 à 18:52 | MAJ à 18/07/2024 à 17:26
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Après le skate, l’escalade et le surf, qui devraient faire leurs débuts aux Jeux olympiques de Tokyo, le Comité olympique a décidé que le breakdance ferait ses débuts en tant que sport aux Jeux olympiques de Paris 2024.

Mais la décision fat déjà des mécontent en Grèce, patrie de l’ olympisme.

Une discipline olympique ?” s’interroge Ta Nea, qui estime que “le Comité olympique, dans sa quête d’un public de plus en plus jeune, n’hésite pas à créer un contraste avec le marathon classique, né au temps des premiers jeux de l’Antiquité, il y a trois mille ans”.

 

Le quotidien de centre gauche retrace l’histoire du breakdance dans le monde et notamment en Grèce, où la discipline a vu émerger les Freakstyle Rockers avec George Isaakidis, alias Pyroh, récompensé de plusieurs “distinctions internationales”.

 

Pour le site sportif Athilitiko.gr, “faire du breakdance une discipline olympique est incroyable mais vrai”. Le site, comme le reste de la presse, ne cache pas sa curiosité quand à “la manière dont les juges devront déterminer le vainqueur de la discipline, tellement les mouvements sont complexes, contrairement aux disciplines classiques, où l’on distingue le plus rapide ou le plus performant des participants”.

 

Le site culturel LIFO apporte des éléments de réponse en expliquant que “le breakdance combine la danse et l’athlétisme. Les mouvements et la capacité à garder une position feront partie des critères de notation. Ainsi les athlètes, nommés “b-boys” et “b-girls”, ne seront pas jugés que sur leur performance artistique, mais aussi sur leur créativité et leur style, leur vitesse, leur rythme et leur souplesse”, conclut le site.

Source :  Courrier International

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