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: Le 12/11/2020 à 17:11 | MAJ à 18/07/2024 à 17:26
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Publié : Le 12/11/2020 à 17:11 | MAJ à 18/07/2024 à 17:26
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Les enfants de Trump restent les meilleurs alliés du président : Donald Trump junior, l’ainé Éric qui a repris le business familial et Ivanka, la préférée. Ils sont aujourd’hui en première ligne pour mener la contre-attaque judiciaire et politique avec la volonté de défendre le nom et la marque Trump.

Le clan Trump n’est ainsi pas prêt à renoncer. Une semaine après la présidentielle du 3 novembre, le président sortant, qui n’a pas concédé sa défaite, est toujours en mode “campagne” : son agenda présidentiel reste vide, tandis que ses proches organisent la riposte, tant sur le front juridique que politique. Le chef de la diplomatie américaine, Mike Pompeo, a ainsi appuyé mardi la position du milliardaire républicain, refusant lui aussi de reconnaître la victoire du démocrate Joe Biden à la présidentielle, et promettant une “transition en douceur” vers un “second” mandat… de Donald Trump ! “Nous allons compter toutes les voix”, a-t-il ajouté lors d’une conférence de presse alors que le ministre de la Justice a donné le même jour son feu vert à l’ouverture d’enquêtes sur d’éventuelles irrégularités lors du scrutin.

Depuis l’élection, le clan Trump s’est engagé dans une bataille judiciaire pour contester les résultats, alors que ces derniers doivent être certifiés, État par État, pour le 8 décembre. Le président sortant et ses avocats ont demandé, selon les cas, des recomptes de bulletins là où les résultats étaient très serrés et où la loi les y autorise, mais ils tentent aussi d’invalider les élections dans plusieurs États. Au moins sept procès ont déjà été intentés par l’équipe de juristes de la campagne. Pour financer cette bataille, Donald Trump et le parti continuent à collecter activement des fonds, proposant aux donateurs de rejoindre une “task force de défense de l’élection” et un “fonds de lutte”.

De son côté, Joe Biden a reconnu hier lors d’une conférence de presse que le refus de Donald Trump de concéder sa défaite était “source d’embarras”, tout en affirmant que cela ne l’empêcherait pas de prendre sa place à la Maison Blanche, en janvier.

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