La jeune fille est morte d’une hémorragie abondante et son corps aurait été incinéré avec force par l’accusé, fils d’un leader politique du Bengal occidental, ont affirmé ses parents à la police. Coup de théâtre ce matin : la police annonce son intention d’inculper le père de la victime, un parent et un voisin en plus de celui du principal accusé, pour avoir incinéré la victime sans autopsie et sans permission. La presse indienne crie au scandale et affirme que le gouvernement tente de camoufler ce viol, suivi d’un meurtre, commis par le fils d’un leader politique et ses amis à son domicile.
Le père et ses proches seraient poursuivis pour “destruction de preuves” car ils avaient incinéré le corps de la jeune fille peu après sa mort sans obtenir de certificat de décès ni déposer de plainte auprès de la police, indiquent les autorités.
S’adressant aux journalistes, le père a déclaré que l’accusé l’avait menacé de procéder à la crémation. « Ils (l’accusé) nous avaient menacés de ne pas l’emmener chez le médecin. Après sa mort, ce sont eux qui nous ont forcés à faire la crémation », a-t-il déclaré, selon The Indian Express.
La jeune fille est morte d’une hémorragie abondante.
Peu après le drame, le chef ministre de l’État, Mamata Banerjee, a remis en question le caractère de la jeune victime en questionnant le viol et en insinuant que la fille était amoureuse de l’accusé et était enceinte.