Le licenciement d’environ soixante employés de la Central Water Authority (CWA) et de treize autres du Central Electricity Board (CEB) a suscité une vague d’indignation et d’incompréhension dans l’opinion publique. Toutefois, selon nos sources, ces employés avaient été recrutés pour des emplois spécifiques et à temps partiel.

À la CWA, précise-t-on, ces employés avaient été recrutés spécifiquement dans le cadre d’un programme interne de remplacement des tuyaux, un projet limité dans le temps. Selon les informations recueillies, il leur avait été clairement indiqué dès leur engagement que leurs contrats prendraient fin une fois les travaux achevés. Ce projet avait été initié et encadré par l’ancienne direction, qui connaissait donc la fin de mission de ces employés dès le départ.

Notre source nous apprend qu’une situation similaire prévaut au CEB. On apprend que les treize employés concernés avaient été embauchés pour effectuer des tâches bien précises, principalement des travaux de nettoyage ou d’entretien ponctuel. Là encore, il s’agissait de contrats à durée déterminée dont les termes étaient connus dès la signature.

Si ces départs provoquent aujourd’hui une vive émotion, notamment chez les syndicats et au sein des familles concernées, il est essentiel de souligner, comme le précise notre source, qu’il ne s’agit pas de licenciements massifs imprévus, mais bien de l’expiration de contrats préalablement établis.