Le pays gagne une toute petite place. Mais dans un communiqué, émis ce matin, Transparency Mauritius note que la corruption est en hausse dans le monde et que les pays qui partagent la première place, soit le Danemark, la Finlande et la Nouvelle-Zélande, n’échappent pas au phénomène.
Invité à réagir, Rajen Bablee, directeur de Transparency Mauritius, insiste sur l’importance que les institutions puissent opérer en toute indépendance et la nécessité d’avoir une loi sur la liberté d’expression.
Évoquant le recomptage dans la circonscription no 19, Rajen Bablee rappelle que le bureau du commissaire électoral et l’Electoral Supervisory Commission font l’objet de critiques. Il insiste d’ailleurs pour que cet organisme soit enfin doté de pouvoirs et des ressources pour pouvoir opérer en toute indépendance…