Le père de la mannequin maldivienne,
Raudha, Mohamed Athif, qui est également médecin, conteste la thèse que la mort de sa fille soit un suicide. Il a déposé une plainte le 10 avril 2017 contre Sirat Parvin, une étudiante Cachemirienne co-locatrice de Raudha. Mais la police bangladaise persiste et signe. C’est un suicide, dit-elle après 3 autopsies.
LA famille de la mannequin Raudha Athif dit que dès qu’ils ont vu son cadavre, ils ont su que l’explication du suicide était un mensonge.
LA famille du mannequin maldivien qui a été retrouvée morte au Bangladesh dans un suicide présumé pense qu’elle a été assassinée par des extrémistes dans le pays.
Raudha Athif, 20 ans, qui figurait sur la couverture de Vogue India, étudiait la médecine à l’Islami Bank Medical College à Rajshahi, Bangladesh, lorsqu’elle aurait été retrouvée pendue dans son dortoir le 29 mars 2017.
Son corps a été découvert par des étudiants horrifiés vivant dans l’auberge réservée aux femmes de la faculté de médecine avant l’arrivée de la police sur les lieux, selon The Daily Star du Bangladesh.
Un responsable du dortoir a déclaré que Raudha “avait toujours l’air heureuse” et qu’il était “difficile de croire qu’elle se suiciderait”.
Le père de Raudha, Mohammed Athif, un médecin, a également exprimé son incrédulité qu’il s’agissait d’un suicide.
Son frère Rayyan Athif, 18 ans, pense que sa sœur a été assassinée et que sa mort a été mise en scène comme un suicide.
S’adressant à The Sun, Rayyan a déclaré: “Raudha était une fille heureuse avec un avenir radieux et une carrière prometteuse devant elle. Elle était amicale, légère et pleine de vie. Ses amis et sa famille ont du mal à croire qu’elle se suiciderait.
“Il y a eu une série de meurtres au Bangladesh qui ont été mis en scène pour ressembler à des suicides et des extrémistes ont été soupçonnés d’être derrière ces atrocités.
“Il pense que Raudha, qui était musulmane, a été ciblée parce qu’elle était une personnalité publique qui défendait des victimes d’intimidation dans des controverses religieuses.
Rayyan a déclaré: «Raudha était une femme forte, elle ne reculerait pas et se défendait pour elle-même et pour les autres. Cela aurait pu faire bouillir de colère les extrémistes.
“Son style vestimentaire était qualifié d'”impudique” et de” non islamique “, même si elle a adhéré au code vestimentaire dans les locaux du collège en portant un voile couvrant son visage.
«Mais elle a été critiquée pour avoir porté des jeans et on lui a dit à plusieurs oxydrolone 50 mg online kopen in nederland reprises qu’elle ne pouvait pas le porter au collège. D’autres élèves ont également été victimes de ce type d’intimidation.
Le père du mannequin dit que sa mort n’était “pas un suicide”
Rayyan affirme également que Raudha a confié à la famille que quelqu’un avait mélangé des somnifères dans sa boisson quelques semaines seulement avant sa mort.
“Nous avons vu son corps meurtri, ses poings serrés et des marques de mains sur son cou comme si quelqu’un l’avait étranglée. Lorsque nous avons soulevé ce problème avec la police, ils l’ont rejeté.
Amin Hossain, commissaire adjoint de la RMP Detective Branch, a été cité dans le Dhaka Tribune comme ayant déclaré : « Il y a 50 % de chances qu’elle ne se soit pas suicidée.
Ainsi, le combat du père de la mannequin se poursuit de plus belle.