Il a présidé la cellule de crise qui a été institué, cet après-midi à Bleu-Bay. Après un constat de la situation après la brèche et la fuite d’huile, il se dit très concerné pour les plages et la biodiversité autour de Pointe d’Esny. Dans une déclaration à la presse, il a fait comprendre que le navire comprend trois cuves d’hydrocarbures. Si deux sont toujours intact, le troisième qui contient environ 1180 tonnes métriques a été endommagé quand la coque a été a eu une brèche.
Ainsi, il admet que le navire représente un danger. Un quatrième remorquer est attendu de l’Inde à Maurice demain afin d’essayer de stabiliser le bateau avant de le renflouer. Mais l’exercice s’annonce compliquer dit Pravind Jugnauth. Quant à l’huile qui s’est répandu sur la côte ouest du pays, Pravind Jugnauth souligne que l’expertise française a été sollicitée.