Une telle loi, avance le président de la Fédération des syndicats de la fonction publique, aurait permis à des nominées politiques à rendre des comptes. En l’absence d’un Freedom of Information Act, ce n’est pas évident, dit-il, de comprendre l’intention du gouvernement concernant la lutte contre la corruption dans le pays.
Il faut stopper, selon Narendranath Gopee, cette attitude incestueuse de nommer des personnes incompétentes à la tête des corps paraétatiques ainsi que dans la fonction publique où des exemples sont flagrants.
Narendranath Gopee a également critiqué la façon dont l’allocation des contrats est gérée par le Central Procurement Board qui selon le syndicaliste fonctionne dans l’opacité la plus totale.
Narendranath Gopee était dans le Hardtalk mercredi. L’émission avait pour thème les nominées politiques au sein de nos institutions et ses dysfonctionnements.