À partir de ce vendredi 15 janvier, l’utilisation, la vente, l’importation, la fabrication ou même la distribution de plusieurs produits en plastique non biodégradable ne sont plus autorisées.

Même si elle se réjouit de cette décision pour des raisons écologiques, l’association des consommateurs de l’île Maurice déplore le manque d’alternative proposé pour compenser cette interdiction.

Le secrétaire de l’ACIM, Jayen Chellum, fait ressortir que nous sommes à l’approche de beaucoup de fêtes, ce manque d’alternative sera un chamboulement dans le quotidien des Mauriciens.

Jayen Chellum est d’avis qu’une période de transition et une campagne de sensibilisation sont nécessaires pour le consommateur.