Une lettre adressée au Commissaire de police met en lumière une affaire sensible impliquant un officier de la Divisional Support Unit (DSU). Selon ce rapport interne, une policière a déposé, le 2 décembre dernier, une plainte auprès du Police Internal Assessment Cell (PIAC) contre le responsable de son unité, le un Sub-Inspector, pour harcèlement sexuel en milieu de travail.La lettre décrit des faits graves : propos déplacés, gestes inappropriés et pressions exercées.
Le document accuse également le Sub-Inspector de se prévaloir de connexions politiques, notamment avec des membre du parti au pouvoir, ce qui lui permettrait d’éviter des sanctions disciplinaires malgré plusieurs plaintes antérieures.
L’auteur du rapport évoque un climat de peur, affirmant que les victimes seraient menacées de transfert. L’enquête interne mentionne un risque élevé de détresse psychologique chez les policières , d’autant qu’elles sont armées lors de certaines tâches. La lettre affirme aussi que le Sub-Inspector aurait tenté de proposer de l’argent à des policières, notamment des recrues, pour obtenir des faveurs.