L’organisme souligne que, dans tous les domaines, il y a des indispensables à maintenir, soit la protection de la démocratie et de la Constitution, le respect de l’État de droit et de la séparation des pouvoirs, la moralisation de la politique et la promotion des droits  humains.

C’est la raison pour laquelle, souligne le Conseil des religions, que tout projet  futur, quel qu’il soit, doit passer le test de ces indispensables. D’où son appel, dans le cas du projet de régulation des réseaux virtuels par l’ICTA, « que les citoyens puissent s’exprimer et que des espaces de consultation et d’explication pédagogique soient organisés et maintenus par le régulateur ».

Cela, précise le Conseil des religions, sans  imposer un « deadline » trop serré à un moment où la population doit se réhabituer  à la vie déconfinée.